Attention à ne pas confondre le cirque Zavatta sur le parking du Nançon et ses 15 numéros internationaux (photo) et celui du parking de l'Intermarché, plus modeste. Photo Laurent Prouhet
Vous avez peut-être remarqué les affiches en centre-ville, notamment boulevards Jean-Jaurès et Jacques-Faucheux, annonçant la venue du cirque Zavatta pour le week-end de Pâques sur le parking de l'Intermarché.
Mais vous êtes peut-être également au courant que le cirque Claudio Zavatta va s'installer au Jardin des Fêtes, parking du Nançon, du 6 au 10 avril.
La mairie pas contenteDeux spectacles estampillés Zavatta à une semaine d'intervalle dans Fougères, il y a quelque chose qui ne tourne pas très rond autour de la piste de cirque.
Alors certes le nom de Zavatta est devenu une franchise adoptée par de nombreuses familles de circassiens mais tout de même.
Si légalement l'installation du premier n'est pas du ressort de la Ville, puisqu'il s'installe sur le domaine privé, Fougères a tout de même demandé de faire retirer les pancartes et affiches placardées un peu partout. « Ils avaient demandé une autorisation, mais pour un spectacle de clowns. Nous n'aurions jamais accepté deux cirques à une semaine d'écart », indique-t-on à la Ville.
Deux spectacles très différentsSelon nos informations les deux directeurs se sont appelés pour trouver un terrain d'entente. Mais Vincent Justin, responsable communication et Mr Loyal du cirque Claudio Zavatta, ne veut pas les gens confondent. « Ce n'est pas du tout la même chose l'autre cirque, c'est beaucoup plus petit. Claudio est le cousin d'Achille Zavatta. L'autre c'est un nom loué. »
En effet, le chapiteau sur le parking du Nançon permettra d'accueillir 1400 spectateurs et plus de 15 numéros internationaux. Fauves, rollers acrobatiques, corde lisse, cerceau aérien, trapézistes, roue infernale, grande illusion, il y en aura pour tous les goûts.
Mais vous êtes peut-être également au courant que le cirque Claudio Zavatta va s'installer au Jardin des Fêtes, parking du Nançon, du 6 au 10 avril.
La mairie pas contenteDeux spectacles estampillés Zavatta à une semaine d'intervalle dans Fougères, il y a quelque chose qui ne tourne pas très rond autour de la piste de cirque.
Alors certes le nom de Zavatta est devenu une franchise adoptée par de nombreuses familles de circassiens mais tout de même.
Si légalement l'installation du premier n'est pas du ressort de la Ville, puisqu'il s'installe sur le domaine privé, Fougères a tout de même demandé de faire retirer les pancartes et affiches placardées un peu partout. « Ils avaient demandé une autorisation, mais pour un spectacle de clowns. Nous n'aurions jamais accepté deux cirques à une semaine d'écart », indique-t-on à la Ville.
Deux spectacles très différentsSelon nos informations les deux directeurs se sont appelés pour trouver un terrain d'entente. Mais Vincent Justin, responsable communication et Mr Loyal du cirque Claudio Zavatta, ne veut pas les gens confondent. « Ce n'est pas du tout la même chose l'autre cirque, c'est beaucoup plus petit. Claudio est le cousin d'Achille Zavatta. L'autre c'est un nom loué. »
En effet, le chapiteau sur le parking du Nançon permettra d'accueillir 1400 spectateurs et plus de 15 numéros internationaux. Fauves, rollers acrobatiques, corde lisse, cerceau aérien, trapézistes, roue infernale, grande illusion, il y en aura pour tous les goûts.
Les cirques ont de plus en plus de mal à trouver de la place en villeUn petit imbroglio qui intervient alors que l'association de Défenses des cirques de familles a organisé ce jeudi matin Porte de Vincennes une opération escargot sur le périphérique parisien pour obtenir de meilleures conditions d'accueil dans les villes. « Autrefois, les villes disposaient d'un champ de foire, aujourd'hui nous faisons les frais des réaménagements urbains et de la frilosité des communes qui ne nous donnent pas d'emplacement », souligne leur président Anthony Dubois.
Une charte d'accueil ?Selon lui 70% de ses adhérents sont aujourd'hui à l'arrêt, faute d'emplacement. Les cirques familiaux, qui travaillent sous des enseignes bien connues du public comme Zavatta, Fratellini, sont dans le métier depuis « huit ou neuf générations », précise-t-il.
« Les villes se sont fermées après les attentats de novembre », observe-t-il. « Beaucoup cèdent aussi à la pression des anti-animaux ». Les petits cirques ont généralement des animaux, dûment encadrés par des permis et certificats vétérinaires, assure-t-il toutefois. Les forains espèrent faire avancer le chantier d'une « Charte d'accueil » des cirques, en concertation avec les collectivités. « On ne demande pas d'argent, on demande simplement de pouvoir travailler », souligne Anthony Dubois. Source Par Antoine VICTOT/Ouest-France avec AFP
Une charte d'accueil ?Selon lui 70% de ses adhérents sont aujourd'hui à l'arrêt, faute d'emplacement. Les cirques familiaux, qui travaillent sous des enseignes bien connues du public comme Zavatta, Fratellini, sont dans le métier depuis « huit ou neuf générations », précise-t-il.
« Les villes se sont fermées après les attentats de novembre », observe-t-il. « Beaucoup cèdent aussi à la pression des anti-animaux ». Les petits cirques ont généralement des animaux, dûment encadrés par des permis et certificats vétérinaires, assure-t-il toutefois. Les forains espèrent faire avancer le chantier d'une « Charte d'accueil » des cirques, en concertation avec les collectivités. « On ne demande pas d'argent, on demande simplement de pouvoir travailler », souligne Anthony Dubois. Source Par Antoine VICTOT/Ouest-France avec AFP